Mimi et les complotistes

Les temps étaient durs. 

L'industrie du Médicament voyait son enrichissement plafonner, depuis des années, à quelques dizaines de milliards de chiffre d'affaire... C'était dérisoire à côté de ce qu'il devait être possible de faire. Dixit les cabinets de conseil. Qui sont des gens familiers avec la philosophie du docteur Knock, ''un homme bien-portant est un malade qui s'ignore'', que Louis Jouvet a incarnée en 1923.

On lança un virus, puis un antivirus sur le marché.

On n'avait pas trouvé de nom adéquat, l'appellation ''grippe mexicaine'' ayant fâché les Mexicains, puis la ''nord-américaine'', les Nord-américains. Les Espagnols s'indignèrent que l'on prétende l'appeler Seconde Grippe Espagnole... L'appellation Grippe nouvelle ne rencontra pas non plus un franc succès auprès du public.

On avait bien tenté de vendre plus, notamment pendant la Grande Grippe puis pendant le Gros Rhume Porcin. Mais la campagne de vaccination s'était soldée par un lamentable flop. Les gens n'avaient pas voulu du vaccin I203, et on avait dû se résoudre à jeter 88 millions de doses, sur les 94 millions que madame Cachalot avait commandées pour lutter contre la pandémie. 

En France, Madame le Ministre de la santé était pourtant très investie. Des gens vont mourir !!! clamait-elle sur tous les plateaux de télés disponibles, ce rhume est fulminant l'entendait-on mugir à longueur d'antenne sur la terre et sur les ondes. Les femmes enceintes étaient menacées ainsi que le fruit de leurs entrailles, les malades affluaient et il n'y en aurait pas pour tout le monde... 

Las ! Rien n'y faisait. Les gens ne semblaient pas effrayés du tout et seules 6 millions de doses furent consommées en France. On fit expédier pour ne pas les jeter 50 millions de doses à quelques pays pauvres où la mort des gens passe inaperçue.

Depuis des années les chercheurs appointés par l'industrie pharmaceutique, elle-même fonctionnant avec de l'argent public, mais vendant à prix d'or le résultat de leur travail, planchaient sur un vaccin contre les coronavirus, une grande famille de virus gros et gras qui pullulent depuis la nuit des temps, une dynastie opulente dont rien ni personne n'a jamais réussi à empêcher le règne insolent.

En Amérique, un certain docteur Faucille Fauci supervisait des équipes médicales et faisait en sorte d'étouffer les avertissements de plusieurs voix dissidentes dénonçant la collusion entre Industrie du Médicament et Corps Médical.

Les gens des labos travaillaient d'arrache-pied dans tous les coins du monde, et notamment en Chine Communiste, cultivant jour et nuit et sans relâche les souches nécessaires à la mise au point d'un virus digne de ce nom. Mais ça ne donnait rien et les affaires n'allaient pas mieux. L'industrie du Médicament périclitait. Et puis un jour, à force de tripoter les virus dans tous les sens et de leur adjoindre des caractéristiques amélioratives, afin de le rendre plus aggressif, plus mortel, en clair, ce que dans le jargon des labos on appelle le "gain de fonction", enfin le virus rêvé fut mis au point par une équipe chinoise et lâché dans la nature.

Un fils de pub eût alors l'idée géniale de chercher un nom vendeur. Après tout, les vaccins sont des produits de consommation, et ils sont vendus comme tels, avec une marque, et un nom...

...Pourquoi pas les virus ?

Il fallait un nom qui fasse vendre, un nom qui sonne bien, qui sonne vrai. Un nom adapté aux consommateurs. C'est pourquoi le nom ''Lao Nong Min'' ne rallia pas les suffrages des cabinets de conseil. Le choix tomba sur "Corona", qui évoque à la fois une bière et le 7ème shakra, le shakra de la Couronne, en hébreu, Keter, celui dont l'ouverture provoque la connection au divin selon les spécialistes. Un nom qui évoque aussi le coeur, car comme chacun sait l'artère coronaire est la veine du coeur. Du coup le nom de la prochaine maladie était tout trouvé ! Oui, décidément, le nouveau virus pandémique que le monde entier allait adopter et craindre universellement s'appellerait Corona, c'était déjà un nom populaire, un nom de bière, mais qu'est-ce que ça pouvait bien faire. Au contraire, c'était un nom vendeur, la preuve !

Le vaccin, lui, avait déjà une appellation, il s'appelait COVID, c'est à dire Certificat Of Vaccination IDentity. On lui avait adjoint un numéro, le 19. COVID 19. Une signification transparente, 1 = A et I = 9, AI pour Artificial Intelligence. Mais évidemment la signification du sigle fut soigneusement cachée au public. 

Comme des millions de braves gens innocents, qui ne voient jamais le mal nulle part, Mimi se réjouit fort à la nouvelle qu'un vaccin était enfin mis au point.

On décida d'un pays cobaye : ce serait le minuscule pays des Juifs, car les Juifs ont depuis toujours une sorte de vocation à servir de têtes de massacre, et, il y a 80 ans, c'est sur des Juifs que Mengele et ses sbires testèrent, dans les camps de la mort, leurs traitements contre de multiples maladies, après les leur avoir dûment inoculées.

Il faut noter qu'alors, les nazis opérèrent avec la complicité massive du corps médical, et qu'en 2020, la majorité des médecins collaborèrent, une fois encore, avec ce nouveau totalitarisme sanitaire.

Des nouveaux collabos : les collabos des labos.

C'est donc tout naturellement Israël qui fût choisi pour jouer les lapins de laboratoire. Pour faire passer la pilule -enfin, la piqûre- on expliqua aux gens que le patron de Pfizer, un certain Bourla, était fils de déportés et qu'il faisait une fleur à Bibi en acceptant ce deal, qui faisait des citoyens israéliens les premiers à être sauvés des griffes du méchant virus. Les premiers à retourner à ''la vie d'avant''.
Par voie de conséquence, tous ceux qui ne voulaient pas se faire injecter, tous ces enquiquineurs d'antivax, qui regimbaient à l'idée de se faire encore imposer une vaccination obligatoire, qui plus est, avec un produit expérimental, furent taxés d'antisémitisme. Pourquoi ? Parce que le complotisme antivax c'était forcément de l'antisémitisme, vu que le vaccin était dû à ce Juif de Salonique, Bourla. Ceux qui refusèrent de se laisser injecter le produit du Juif Bourla, patron de Pfizer, furent donc traités d'antisémites. C'était logique. Même s'ils étaient juifs. Même s'ils étaient Israéliens : c'était des traîtres à leur pays, épicétou.

Heureusement, ces individus n'étaient qu'une infime minorité en Israël et peu de gens les écoutèrent. Ils eurent beau manifester avec l'étoile jaune sur le coeur contre le vaccin et le passe sanitaire, pour dénoncer l'exclusion de la vie sociale des non-vaccinés, traiter leur ministre de la Santé, Yuli Edelstein, de nouveau Mengele, le message ne passa pas très bien et les Israéliens, et le monde à sa suite (enfin, l'Europe, les Etats-Unis, le Canada et l'Australie, principalement) courut se faire administrer un, puis deux, puis trois, puis quatre doses... Certains en reçurent cinq.

L'enrichissement des sociétés pharmaceutiques fût colossal. Jack pot ! Kolllossaaaale réussite commerciale.

Comme prévu, les AVC, les crises cardiaques, et malheureusement les arrêts cardiaques se multiplièrent chez les jeunes vaccinés, et même chez les enfants, eux que la maladie épargnait ! Mais faire un lien avec le vaccin était, selon Mimi, du complotisme. 

Un film israélien, toujours en ligne sur Youtube, est une compilation terrible à regarder de témoignages de gens ayant reçu le prétendu ''vaccin'' et parlant face caméra des effets secondaires de l'injection expérimentale : il dure un peu plus d'une heure et recense des témoignages de problèmes survenus à eux-mêmes ou à des proches, depuis les problèmes cardiaques aux problèmes neurologiques, et il donne la parole à ceux qui sont à présent handicapés à vie après l'injection. 

Les non-vaccinés, eux, se portent bien, merci.


Mimi, qui a été élevée dans la religion vaccinaliste-orthodoxe, que je résumerais en disant que l'expression ''majeur et vacciné'' est une de ses préférées, aimait bien répéter que le vaccin avait sauvé des vies. Que tout ça c'était la faute des chauves-souris et des pangolins. Que Raoult n'était qu'un charlatan, avec son ivermectine, son hydroxychloroquine, son azythromycine, ses avertissements à la noix proférés avec l'accent de Marseille et sa tête de druide allumé. Et que j'étais, comme tous ceux qui insistaient (lourdement, selon elle) en continuant à prétendre que le virus était de fabrication humaine, une vilaine complotiste. Cinq ans plus tard, il vient finalement d'être reconnu de fabrication humaine. Je lui dédie ce texte, en lui souhaitant une bonne santé. Et en souhaitant aussi qu'elle ait le courage de regarder le film de témoignages de ceux qui ont été blessés par le vaccin ou perdu un ou plusieurs proches après leur inoculation. Ou leurs enfants.

Dieu nous préserve des abuseurs publics, des manipulateurs de pauvre monde et des tripatouilleurs de virus ! Amen !

            
              Catherine Stora


En anglais :


En français :



Et pour ne pas finir sur une note triste, voici une petite chanson gaie sur ce sujet affligeant, la vaccination des enfants et le recrutement forcé de la population israélienne comme lapin de laboratoire.
(en hébreu, traduction dans la description de la vidéo) 

 

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