Alma Médoubar

Elle n'était pas obligatoire. Mais dans les faits, elle l'est devenue... Comment s'y sont-ils pris pour nous imposer cette vaccination ? En utilisant le marketing de la peur, en effrayant les gens, en les conditionnant quotidiennement, partout où le vaccin devait être commercialisé, dans le cadre d'une campagne publicitaire intense fondée sur la peur de mourir, qui existe en tout un chacun : bombardement incessant de chiffres, pilonnages de statistiques, mitraillage non-stop du nombre de gens sous respirateur artificiel, il fallait absolument persuader les gens et par tous les moyens qu'il y allait avoir des millions de morts, que le virus du corona c'était un mixte de grippe espagnole, de peste et de choléra. Aucun traitement ne marchait et surtout pas l'hydroxychloroquine, un traitement non autorisé en Israël, du moins au mois d'avril 2020. Seule l'injection à visée immunologique de chez Pfizer pouvait nous sauver . Ceux qui n'avaient pas peur

On dira ce qu'on voudra, je trouve curieux que Bibi récupère le pouvoir juste après en avoir été chassé. Cette situation lui profite, c'est évident. De là à penser qu'il en est l'instigateur, il n'y a qu'un pas, que je franchis allègrement, car je sais bien que c'est avant tout un arriviste et un opportuniste accro au rôle de sauveur d'Israël qu'il s'est attribué et qu'il entend bien continuer à jouer. En réalité, Bibi, qui ne veut que se maintenir au pouvoir coûte que coûte, a sans doute provoqué cette guerre, au contraire. Sans bien se douter peut-être, du tour qu'elle prendrait. De l'ampleur des dégâts. Comment s'y est-il pris ? C'était la fin du Ramadan. Il y avait des troubles depuis quelques jours dans la partie orientale de la ville, au sujet d'arabes refusant de payer leur loyer, dans le quartier Sheikh Jarrah, autrefois Shimon ha-Tsaddik, mais les arabes ont l'étrange manie de rebaptiser systématiquement les l