Révélations choquantes de Francisco Gil-White sur l'histoire de la guerre menée contre Israël (Partie1)
Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais les vidéos maintenant sont présentées avec un teaser, une sorte d'hameçon : les premières secondes sont un extrait placé en tête, pour accrocher l'auditeur, le spectateur, bref celui qui fouille sur Youtube.
Au hasard de la navigation (mais comme dit ma mère, "Youtube nous connait bien'') je suis tombée l'autre jour sur cette vidéo au titre évocateur : "If Israel falls we are the next."(1)
Effectivement, le passage est accrocheur : l'homme, à l'écran, annonce tranquillement, l'air d'énoncer une évidence, ''le facteur commun de toutes les oppressions, Egypte antique, Inquisition, Russie tsariste, nazisme, c'est l'antisémitisme. Il est l'outil de l'expansion totalitaire.''
Je n'avais jamais pensé le problème dans ces termes-là. C'est là je trouve un point de vue original et novateur. L'homme a une façon de présenter ses arguments qui m'a séduite instantanément : Francisco Gil-White explique qu'en attaquant l'antisémitisme, c'est lui même qu'il défend. Qu'il n'est pas juif, et que ce qu'il décrit dans ses articles, ses livres et ses conférences, c'est le danger que fait courir l'antisémitisme aux peuples occidentaux, que l'antisémitisme est le plus grand ennemi des démocraties occidentales, lancées dans la seconde guerre mondiale à l'aide de la propagande antijuive.
''La Seconde guerre mondiale nous a montré que les gens qui ont assassiné les Juifs d'Europe étaient mauvais pour tous..."
Parce que les antisémites sont un danger pour tous, qu'ils soient nazis ou musulmans, affirme t-il.
Cet homme est anthropologue, il est aussi historien, chercheur en sciences politiques, et son site internet s'appelle ''The management of reality'' (en français, la gestion de la réalité)
Lorsqu'on l'interroge sur son parcours, il répond que le premier ''turning point'' a eu lieu pour lui le 11 septembre : le discours des médias l'a comme qui dirait ''obligé à repenser son modèle'', les médias s'étant comportés comme les Soviets, n'ayant rien investigué, et se contentant d'obéir à Bush : lors des attentats du 11 septembre, le pouvoir n'a pas été inquiété et les médias se sont bornés à répéter la version du gouvernement. En lisant des articles de blog provenant de journalistes citoyens, de la presse libre, il a commencé à prendre conscience du décalage entre la réalité et ce qu'on nous montre.
The media is the virus
Par exemple, le prétendu massacre commis en 2002 par Israël au camp de réfugiés de Jénine a constitué pour lui un second turning point. ("Jénine, c'est une ville, d'ailleurs, pas un camp", précise t-il...) Une accusation infondée et qui n'a pas été rétractée, car il n'y a eu aucun massacre, en fait. La représentation du conflit israélo-palestinien par les médias et le milieu académique est évidemment biaisée... Je n'ai pas pu m'empêcher de m'esclaffer quand Gil-White a raconté qu'il a été viré de l'Université de Pensylvanie après la publication de ses travaux : la "Penn", comme on dit, vous savez, cette université prestigieuse dont la directrice vient d'être démissionnée après ses fameuses déclarations devant le Congrès. En effet, cette dame n'a pas craint de réitérer plusieurs fois son attachement éperdu au contexte, appeler au génocide des étudiants juifs sur le campus n'étant pas pour elle absolument condamnable, mais relatif au contexte dans lequel cet appel a lieu. En clair, on peut appeler au génocide des Juifs sur le campus si l'on a une bonne raison. Dégueulasse, oui, mais cette dame s'appelle Mac Gill, m'a fait observer ma mère... Mac Gill, oui, et alors ? Alors, ce nom se prononce en hébreu comme מגעיל : dégueulasse, écoeurant.
Quels travaux ? La thèse de Francisco Gil-White, démontrant que le mouvement national arabe palestinien a été créé par ceux-là mêmes qui ont commis l'holocauste lui avait valu d'être viré. C'est aujourd'hui au tour de la présidente... un petit retour de karma, je suppose. 😉😉 Gil-White explique que le mouvement arabe palestinien, dont le père fondateur est adj Amin al Husseini, Grand mufti de Jerusalem, a été très célèbre et très vite oublié quelques décennies après la Seconde Guerre mondiale : les médias n'ont même pas besoin de censurer, de confisquer des livres, précise t-il, il suffit qu'ils arrêtent de parler de quelqu'un pour le faire disparaître, on n'en parle plus, pof, terminé. (Un peu comme avec le virus, vous avez remarqué ?) Cet individu fait Grand Mufti en 1921 par les Anglais pendant le Mandat britannique était responsable d'attaques de grande ampleur contre les Juifs, il fomente les soulèvements arabes dès les années 20, puis entre 36 et 39 : c'était une figure internationalement connue, très estimée chez les nazis et les chefs musulmans à cause des massacres organisés en Palestine Mandataire : reçu en grande pompe en Irak, comme l'organisateur du massacre des Juifs de Bagdad, vu comme le prochain calife, le Mufti se vit offrir une alliance avec les fascistes : il rencontra Mussolini à Rome, qui le reçut comme un chef d'Etat. Il se rendit à Berlin en 1941 et Hitler s'est assis avec lui pour causer nettoyage ethnique entre potes. connaisseurs. En chemin pour en finir avec les Juifs de Palestine, les Allemands furent arrêtés à El Alamein (Egypte) en octobre 1942.
''A Nuremberg'', explique Francisco Gil-White, ''un Tchécoslovaque qui a parlé avant d'être exécuté a témoigné et a raconté que le Grand Mufti est arrivé à Berlin en 41 et que c'est lui qui a convaincu les nazis d'exterminer les Juifs, alors qu'au départ il n'était question que de les expulser : la décision de les anéantir a été prise à la conférence de Wansee en 1942. Ce n'était pas assez de les chasser, car les Juifs expulsés d'Europe menaçant d'aller dans "sa Palestine"il fallait bien, selon le Grand Mufti, les en empêcher.''
Ce qu'explique Gil-White, c'est que le Grand Mufti, devenu le meilleur ami d'Eichmann, de Himmler, et de Hitler, a organisé avec eux le système des camps de la mort : donc, le père du mouvement national palestinien est également responsable de la destruction de la population juive d'Europe. D'où ce constat terrible, qui sonne comme une évidence : ce sont les mêmes individus qui ont forgé cette arme de destruction massive, la cause palestinienne, après avoir conçu les camps de la mort et mis en place la solution finale.
C'est Gamal Nasser a caché le Grand Mufti après qu'il se soit enfui de prison (3) pour échapper au procès de Nuremberg, qui l'a reçu au Caire et l'a protégé, ainsi que d'autres nazis en fuite, et ensemble ils ont entraîné quelques adolescents dans les années 50, dont Mahmoud Abbas et le propre neveu du GM, Mohamed Abdel Raouf Arafat al-Qoudwa al-Husseini, celui qui se fera appeler Yasser Arafat, qu'Allah le maudisse et le rôtisse.
Cette organisation s'est appelée le Fatah, un groupe en réalité islamiste : "cette histoire de nationalisme laïc est de la foutaise vu que le groupe est clairement jihadiste depuis le début" dit Gil-White (et vu que ce mot, Fatah, signifie conquête en arabe, ajouterais-je.)
Le narratif de la diplomatie repris et matraqué par les médias "la paix contre les territoires'' l'a immédiatement alerté, dit-il, "vu que l'Etat d'Israël a été créé pour servir de refuge aux Juifs persécutés, les Accords d'Oslo sont en réalité une attaque contre Israël, une aberration". Ce que Gil-White explique, en substance, c'est que nous créons un modèle de compréhension du monde via les médias, et que comme ce sont les médias construisent notre réalité, car il est très peu de choses dont nous sommes témoins directement, alors par exemple, la conviction que "les USA sont le plus grand allié d'Israël" devient votre modèle géopolitique, cela est constamment répété, on ne remet pas ces modèles en question. Cependant, la contradiction, dans la réalité, exige de chercher un autre modèle explicatif. Les USA, en réalité, affaiblissaient Israël, mettant sa sécurité en danger avec par exemple, des menaces de stopper l'aide militaire à Israël si le plan d'Oslo n'était pas accepté.(4)
De l'eugénisme au nazisme
The War against the Weak (La guerre contre les faibles) est un livre incontournable pour comprendre l'origine du nazisme, qui vient en droite ligne de l'eugénisme, dit Gil-White. Il poursuit ainsi :
''Le Grand Mufti a disparu de la conscience collective, et la même chose est arrivée avec l'eugénisme, qui n'est autre que la théorie de la race pure'' : il s'agit d'avoir les "bons gênes", ceux qui vous valent d'être intégré à la société, d'être riche, etc... (...) La pauvreté étant imputable inversement à de mauvais gênes, les tests d'intelligence (IQ tests) sont une fraude scientifique, l'intelligence était liée à la capacité à faire de l'argent... La prison pour les épileptiques, les feeble minded, les stérilisations forcées tout cela à eu lieu aux Etats-Unis dans la deuxième moitié du XIXème siècle".
"Les Rockefeller financaient toutes ces recherches, Carneggie, Ford, et les nazis ont tout appris de l'Amérique, le projet T4 (l'élimination des gens considérés de races inférieures en camp de concentration) est un projet d'euthanasier les "faibles" et les "défectueux", qui vient des Anglais et des Américains :"ça a commencé à Long Island et ça s'est terminé à Auschwicz" prison, stérilisation, euthanasie, tout cela a d'abord été pensé en Amérique, et même, en Angleterre, à l'époque victorienne."
"Les positions de l'élite sont plus faciles à comprendre si on accepte de repenser son modèle, d'en changer : alors on peut expliquer les positions contre Israël, la campagne présidentielle de Roosevelt, par exemple. Changer de modèle permet de comprendre : autre exemple, le prétendu "apaisement de Hitler" que nous apprenons à l'école : étaient-ils bien ces innocents et ces naïfs que l'on nous présente, comme Daladier, des gens qui manquaient simplement de courage ?"
Du bla bla, nous dit Francisco Gil-White, ''en réalité ils faisaient la promotion de Hitler ! Ils étaient du même bord ! Entre eugénistes, on se soutient, et eux le soutenaient activement ! De toute évidence, le narratif appris à l'école ne tient plus : ils ont, en réalité, été des alliés stratégiques de Hitler ! L'ancien modèle ne permet pas de comprendre, de relier les faits, la prédictabilité ... Au contraire, le bon modèle permet de finir le puzzle, ils ont collaboré aux conquêtes de Hitler ils l'ont aidé, ce n'était pas de l'apaisement : Chamberlain était le représentant de cette politique et c'était un eugéniste, un mâle alpha, pour l'aristocratie il contrôlait toute la presse anglaise, comme Rockefeller aux USA qui fabriquait la réalité en corrompant les journalistes américains. On nous a imposé un narratif, mais s'il n'explique pas, ne ''fitte pas" alors il faut travailler à chercher un modèle qui explique plus de faits : l'inexplicable n'a pas sa place ni les paradoxes.''
Effectivement, comme en science, le modèle qui doit être adopté préférentiellement est celui qui intègre le plus de phénomènes : modèle, chez Gil-White, signifie théorie scientifique, en philosophie des sciences. Nous devrions être capables d'améliorer nos modèles de compréhension du monde, et donc, d'en changer. Au lieu de rester inféodés à ceux que les élites, via les médias, nous imposent.
L'élite, pas le peuple
Il vaut mieux parler de gouvernements des pays, pas des pays, dire ''le gouvernement de la France'' et non ''la France'', ''le gouvernement américain'' et non ''l'Amérique'', car évidemment il faut faire la différence entre les simples citoyens, et l'élite au pouvoir, celle qui contrôle les médias et fabrique une autre réalité. Notre rapport à la réalité étant entièrement dépendant des médias nous sommes entièrement à leur merci.
Paradoxes : l'élite a fait la promotion de l'OLP et maintenant essaie de nous entraîner dans une 3ème guerre mondiale. La société occidentale est-elle un allié d'Israël? Les gens oui, les citoyens, en majorité, soutiennent Israël contre le Hamas, (sauf ceux qui sont sous hypnose ou délibérément antisémites, immensément nombreux, et ceux, encore plus nombreux peut-être, qui refusent de prendre parti, à mon avis à cause d'un déficit du sens moral) mais pas l'élite décisionnaire, ni ceux qui contrôlent la réalité via les médias.
L'antisémitisme, instrument du totalitarisme
"Les protocoles des Sages de Sion est un faux, qui dit que tout est contrôlé par les Juifs, la propagande disait que les Juifs allaient réduire les chrétiens en esclavage cela a abouti à la guerre et à la Shoah. Mais la Shoah a montré que les Juifs ne contrôlaient rien; en réalité tout vient des médias et si quelqu'un a dans sa tête un modèle comme quoi Israël oppresse les arabes et contrôle les médias il devrait le remettre en question car les médias ne sont absolument pas favorables à Israël."
"La propagande : les Protocoles des Sages de Sion, fabriqué par la police secrète du Tsar, faisait des Juifs des complotistes contrôlant en secret les médias et les banques, et finalement, tout. Mais si les Juifs contrôlent les médias, comment se fait-il qu'ils laissent ces mêmes médias diffuser non-stop la propagande pro-palestiniaise ? L'incitation permanente des médias à la haine anti-juive prouve que ces allégations sont absurdes. De même l'affirmation selon laquelle les Juifs contrôlaient les médias et les institutions, lesquelles ont activement collaboré avec les nazis, pour aboutir à l'extermination des Juifs d'Europe."
"Les systèmes oppressifs, l'Empire russe, autocratique et avant, l'Inquisition...encore des antisémites... Les chrétiens aussi ont souffert de l'Inquisition, pas seulement les Juifs."
"L'Empire romain, a été le modèle totalitaire, c'est un pattern, un motif parfaitement logique : maintenant c'est les musulmans, l'Iran, les jihadistes du Qatar, du Koweït, des Emirats Arabes Unis. L'élite au pouvoir nous la fait à l'envers : l'origine de la Loi juive est une histoire d'esclaves en fuite ! Ils ont quitté l'Egypte et reçu une Loi, la Torah, au Sinaï. Cette Loi était révolutionnaire, tout esclave maltraité était affranchi ! Les conditions des esclaves devaient être égales à celles des maîtres..."
C'est pourquoi les esclavagistes d'Iran, de Barhein, et d'Arabie Saoudite ne peuvent pas saquer les Juifs, évidemment ! Eux qui confisquent les passeports de leurs employés philippins pour les faire travailler pour eux gratuitement. Mais qui sait que de nombreux pays arabos-musulmans pratiquent encore l'esclavage ?
"L'Empire gréco-romain était terrible, les Romains et les jeux du cirque... Et ils auraient inventé la démocratie ? Foutaise ! L'égalité devant la loi, en réalité, elle vient des Juifs : Aime ton prochain comme toi-même"... Et de conclure :
"Ce qui tue l'Occident c'est l'antisémitisme, instrument traditionnel de toutes les oppressions, et si l'Occident veut survivre il doit sortir de cette hypnose."
"Edward Said et son oeuvre délétère, répand le mythe du sionisme comme colonialisme, comme impéralisme ; la gauche internationale a promu l'idée que les Palestiniens étaient victimes d'un impérialisme, d'une oppression colonialiste. Tout le monde admirait Israël qui gagnait ses guerres seul contre les pays arabes coalisés pour le jeter à la mer. Alors, les médias ont créé le mythe du pauvre palestinien opprimé et l'ont seriné pendant soixante ans." Gil-White ne dit pas comment déconstruire ce mythe, profondément enkysté dans la psychée des gens, majoritairement des gauchistes.
"C'est un marqueur, explique t-il. Pour être reconnu comme un bon gauchiste, on doit reconnaitre que le méchant, c'est Israël."
"Les arabes ne voulaient pas faire la guerre aux Juifs car l'état renaissant leur offrait de meilleures conditions que dans les pays arabes avoisinants, où ils étaient pratiquement esclaves, réduits à la plus extrême misère. L'arrivée des Juifs en Palestine est la meilleure chose qui soit arrivée aux arabes de la région... C'est Husseini qui menaçait les propriétaires terriens et extorquait les terres et les revendait à l'Agence Juive, dix fois le prix évidemment. Avec cet argent il achetait des armes, pour tuer les Juifs. Les révoltes arabes de 36 furent organisées et financées par Mussolini et Hitler, qui leur envoyèrent ces armes."
"Bien sûr. L'islam conquérant, comme l'élite mondialiste, eugéniste, islamonazie, a besoin de l'antisémitisme des peuples fanatisés, manipulés, pour mieux les asservir : le phénomène woke est utile à l'élite au pouvoir, lui qui divise et atomise les identités en une multitude de micro-identités ; le woke empêche les gens de penser clairement, jusque dans les universités, dont pourtant la vocation est d'apprendre aux gens à penser de manière critique ! Au lieu de ça, le woke, aussi intolérant que l'islam (si tu ne penses pas comme moi, je te tue !) décrète que la seule chose qui importe est les convictions politiques. Les valeurs morales, exclusivement celles portées par le woke."
"Appelez-nous conservateurs, oui, nous voulons conserver la liberté de penser, la démocratie, la liberté d'expression !" s'exclame t-il pour finir.
Que nous révèle ici F.Gil-White finalement, et qu'est-ce qu'il y a donc de choquant? Que notre conception du monde étant construite par l'élite au pouvoir qui contrôle les médias, qu'il s'agisse du gouvernement américain actuel ou des eugénistes anglais du XIXème, des nazis ou des pays islamistes, nous sommes totalement inféodés au récit qu'ils nous imposent. Vous me direz oui, merci, tout ça on le savait déjà. Depuis l'inoubliable ouvrage de Christian Salmon, Storytelling, entre autres... Sauf que la collusion de l'islam, des nazis, et de l'eugénisme, du woke qui contamine les milieux universitaires et soutient le Hamas, éclaire la réalité d'un jour nouveau. Cette collusion est signifiante, par ce qu'elle révèle des éléments en présence, et surtout parce que ces gens ont un ennemi commun, Israël, et les Juifs.
Ces révélations sont effectivement choquantes, car elles vont à l'encontre de la doxa propagée par les médias aux ordres de ceux qui sont au service des oppresseurs, l'élite au pouvoir qui utilise l'antisémitisme pour continuer à leurrer les peuples en détournant la colère et la frustration contre la cible habituelle, les Juifs.
Quant à la guerre que livrent à Israël les puissances occidentales à plat-ventre devant les pays islamistes et en particulier l'Iran, via le soutien au Hamas, la conclusion s'impose d'elle-même : la Shoah et la cause palestinienne étant sorties des mêmes cerveaux malades saturés de haine antijuive, celui du ''Grand Mufti"et de ses amis nazis, il est impossible de déplorer l'une et de soutenir l'autre, la seconde étant la continuation de la première, après la défaite de l'Allemagne nazie.
Il faut dénoncer sans relâche l'hypocrisie de ceux qui s'apitoient sur les morts de la Shoah tout en soutenant l'existence de ce peuple imaginaire auquel on veut donner de la terre juive saturée du sang de nos soldats et de tous ceux qui ont été assassinés dans cette continuation de la Shoah qu'est la prétendue "lutte pour la libération de la Palestine."
La meilleure manière de le faire, en ces temps difficiles, où Israël est menacé comme jamais et l'existence des Juifs, partout en danger dans le monde, est de relayer massivement les écrits de Francisco Gil-White. De suivre son conseil, de ne pas le croire sur parole mais d'aller vérifier, de le contredire, "proove me wrong", prouvez-moi que j'ai tort...
Notes
(1) "Si Israël tombe, nous sommes les suivants."
(2) Lire la réponse n°1 sur les raisons de sa mise à pied par l'université de Pennsylvanie Questions/réponses, interview de F.Gil-White
(3) Sur ce sujet lire cet article de la chercheuse Tsilla Hershko, Le Grand Mufti de Jérusalem en France, histoire d'une évasion
(4) Article de Francisco Gil-White : Les Etats-Unis sont-ils l'allié d'Israël ? F.Gil-White
Très intéressant. On en apprend des choses, sur Alma Médoubar. Néanmoins, ce Gill White que j'aurais pu prendre pour une marque de dentifrice parvient à de judicieuses conclusion par ses recherches théoriques. Un seul bémol : c'est quand il affirme que les arabes ne voulaient pas faire la guerre aux Juifs. Logiquement, il a raison, ils auraient dû se montrer reconnaissants, ce qui n'est pas le cas. Pour l'employeur juif, c'est un peu comme s'il entretenait des scorpions. Les pires attaquants du 7 octobre ont été ceux qui travaillaient dans les kibboutzim dont les habitants naïfs croyaient voir en eux des modérés, alors qu'ils ont préparé l'agression en prenant des renseignements sur chaque maison.
RépondreSupprimerMerci !
SupprimerLes arabes de la région étaient en situation de quasi-esclavage quand les pionniers juifs sont arrivés pour cultiver la terre désolée, infestée par les moustiques et par la malaria... Objectivement ils ont été attirés en Eretz- Israël par de bien meilleures conditions de travail et des salaires cinq fois supérieurs à ceux qu'ils touchaient en Egypte, en Jordanie, en Syrie, au Liban... Les pays d'où sont originaires ces fameux "Palestiniens", en fait. Selon Gil-White ils ont été endoctrinés par le Grand Mufti.
Tu proposes donc que, instruits par la trahison des travailleurs arabes, complices des massacreurs du 7 octobre, nous n'en embauchions plus ? Que nous n'accordions plus de permis de travail aux Gazaouis ?
SupprimerC'est l'évidence.
Bien entendu. C'est la moindre des choses. Tu connais la dernière, la meilleure en fait? Mieux vaut ne pas s'énerver.
RépondreSupprimerDans le bulletin local de Bet-El le maire nous explique pourquoi il faut laisser entrer des Arabes pour faire des travaux. Il se fait seconder par un certain Zambiche, avec un argument à s'arracher les cheveux : "Nos ennemis ne veulent pas qu'on construise, donc ça leur fait plaisir qu'on ne laisse pas entrer d'ouvriers". Depuis l'agression ignoble du 7, le barrage routier à côté de Bet-El a été fermé, c'est un des accès à Ramallah. Or quelle coïncidence ce matin le passage leur a été de nouveau autorisé. Je le leur ai dit la semaine dernière (par un groupe de mails Bet-El list) qu'ils ne pourront pas être pris au sérieux s'ils font entrer des ennemis, quand ils demandent à ce que l'entrée de Ramallah d'à côté de chez nous reste fermée.