23ème édition de la Fête annuelle du Jet Privé

Aujourd'hui, lundi 16 janvier 2023, le pouvoir se réunit à Davos, à la montagne, altitude, 1666 mètres. C'est une station de ski, dans les Alpes suisses, où il arrive en jet privé, que ce soit pour faire 3000 kms ou 50. (Le train, c'est pour les manants.) Le pouvoir, c'est à dire les mondialistes de Davos, ceux qui veulent réduire l'empreinte carbone, mais se fichent bien de la leur. Greenpeace a dénoncé l'année dernière le nombre de vols privés au départ et à destination des aéroports de Davos, dans une étude qui a révélé qu'ils portaient souvent sur de très courtes distances, la majorité des vols étant de moins de 750 kms.

"Les riches et les puissants s’envolent actuellement pour Davos pour discuter du climat et des inégalités mondiales à huis clos, en utilisant le moyen de transport le plus inégalitaire et le plus polluant qui soit : le jet privé", fustigeait dans un communiqué Joeri Thijs, porte-parole de Greenpeace Belgique. "C’est une honte. Et c’est d’autant plus indécent quand on sait qu’en ce mois de janvier 2023, des records de chaleur sont déjà battus dans toute l’Europe et que les catastrophes climatiques touchent de plus en plus de personnes dans le monde". Culpabiliser un peu aussi les riches, au passage, pas toujours les mêmes...!

''De plus, 80% de la population mondiale n'a jamais pris l'avion mais souffre des conséquences des émissions de l'aviation nuisible au climat (...) et cette fête annuelle des jets privés est un cours magistral d'hypocrisie de mauvais goût'', estime Klara Schenk, chargée de campagne pour Greenpeace. Il est grand temps que nos dirigeants politiques commencent à montrer l'exemple au lieu de produire du vent dans des réunions secrètes avec les grandes entreprises, ajoute-t-elle.

Des réunions secrètes ? Greenpeace tomberait pas un peu dans le complotisme ? Surtout que l'événement est parait-il couvert par 400 journalistes, qui rendront compte (chacun à leur manière, il est vrai, à moins qu'ils ne se donnent le mot pour fournir une version unanime et officielle ?) de ce qui s'est dit là-bas...

Ils y "produisent du vent", certes, et brassent beaucoup, c'est sûr, et en échange, y prennent... un bon bol d'air. Thomas Mann est d'ailleurs venu avec sa femme à Davos, au sanatorium... On doit y respirer magnifiquement. Quoi qu'il en soit, l'étude démontre que ''tous ces vols en jet privé ont causé un total de 9700 tonnes de CO2, ''soit l'équivalent des émissions, tenez-vous bien, d'environ 350 000 voitures en une semaine." Thomas Mann, qui situe l'action de son inoubliable roman La Montagne magique, dans les montagnes de Davos, les dépeint avec talent et lyrisme. Je ne connais de Davos que les descriptions que l'écrivain allemand fait de ce village pittoresque connaissant de fréquentes tempêtes de neige, l'hiver.

Le pouvoir, c'est à dire environ trois mille personnes, des chefs d'Etats, des ministres, des chefs d'entreprises, celui d'Amazone, celui d'Ali Baba, de Zoom, de Meta, de Tik Tok, de Google... Celui de Lego, qui fait dans la création de mondes virtuels, celui de Metavers, qui fait dans l'intelligence artificielle... 

Des gouverneurs de banques centrales, des personnalités, des représentants de l'Empire Pharmaceutique... De Pfizer, qu'on ne présente plus. Des représentants de l'OMC, du FMI, et de l'ONU... Bref, tous les puissants de ce monde font une sorte de '' Réunion de Planète'', comme ils disent dans La Belle Verte. Ils vont pouvoir se voir, faire des affaires, - dans ta suite ou dans la mienne ? Spéculer sur le prix des matières premières, et celui de l'énergie, est-ce que je sais, moi ? Chercher un nom vendeur, pour le prochain virus qui sera mis sur le marché... Klaus Schwab, le fondateur de ce Forum Economique Mondial, en 1970, s'est fait parait-il porter pâle, aujourd'hui. Son fils, Olivier Schwab, le remplace. Quant à George Soros, autre nuisible omnipotent, patron de l'Open Society et financier milliardaire qui prophétise la fin du monde, il a twitté la semaine dernière que son emploi du temps très chargé l'empêcherait d'assister à la réunion cette année. Bill Gates, lui, en est.

Il est permis de s'interroger sur la teneur des discussions que ces braves gens (braves ?) tiennent, à l'heure où je vous parle, sur le thème choisi cette année, à savoir “La coopération dans un monde fragmenté”. Ce terme, coopération, sonne étrangement mal pour qualifier l'action de ces milliardaires malfaisants, ces gens que personne n'a élus, qui bousillent, chaque jour que Dieu fait, les ressources naturelles et les richesses de ce monde qu'ils qualifient de ''fragmenté''... En clair, la globalisation marche pas très bien. Marrant comme ces milliardaires qui sont causes des problèmes de la terre, l'empoisonnement de l'air et de la terre, des rivières, des océans et des êtres humains, se voient comme d'aimables philanthropes désireux de sauver l'Humanité des maux qui l'accablent... Ce serait risible si la situation de certains n'était pas si tragique. Je pense aux soignants suspendus, en France, auxquels on interdit de pouvoir vivre décemment, de pouvoir vivre tout court, privés qu'ils sont de salaire et même de toute aide sociale, leur punition pour avoir refusé de se laisser injecter une susbtance expérimentale dangereuse, laquelle aurait déjà fait des millions de morts. L'acharnement de ces fous furieux à vouloir imposer un nouvel ordre mondial, fait de tout-numérique, d'injections régulières à la population, et d'ingénierie sociale et génétique, a quelque chose de diabolique. A l'aide des techniques du ''nudge'' ils poussent insensiblement huit milliards de gens dans la direction qu'ils ont choisie, celle du carnage, sans que celle-ci s'en rende vraiment compte. Aux gens blessés, handicapés à vie par le prétendu ''vaccin'' ils répondent que l'injection n'était pas obligatoire mais seulement recommandée : le nudge consiste à ne pas obliger formellement mais faire en sorte qu'on n'ait pas d'autre choix que celui de se conformer... Les gens n'étaient pas obligés de devenir des mutants, porteurs d'une ingénierie microscopique contenant du graphène. Mais ils l'ont fait, parce qu'on les y a poussés, et qu'on leur a menti.

Et maintenant, conscients que les gens commencent à prendre conscience de l'ampleur de la supercherie abominable dont ils sont victimes, de l'inutilité des mesures sanitaires qu'on leur a imposé, de leur inanité, et qui les ont poussés au désespoir et ruinés, les milliardaires commencent à serrer les fesses et à se demander comment ils font faire pour ''gérer la crise majeure qui s'annonce''...
  
Bref, revenons à nos mutants. (je l'aime bien, celle-là)
Il est probable que les gens l'ont mauvaise, un peu partout sur la planète, et qu'ils ne se laisseront pas affamer et priver de chauffage, d'essence et d'électricité de bon gré. Qu'ils se livreront à des actions de sabotage, à des actes de violence. Ils sont si nombreux, et les pauvres milliardaires, à peine 3000 à Davos ! Et 5000 policiers suisses pour les protéger, avec en sus une surveillance de l'espace aérien par hélicoptère, dame, il ne faudrait pas que des excités, ne se contentant pas de manifester pour le climat en bloquant les aéroports locaux, se laissent aller à quelque action extrème.

Les gens, un peu partout, commencent à mettre en doute le bien-fondé de l'injection obligatoire expérimentale pour tous. Une fois qu'ils auront compris que la réduction de la population est le vrai but, avec ces injections, et non une élucubration de complotistes d'extrême-droite et d'antivax antisémites, il est probable qu'ils s'opposeront de toutes leurs forces aux sombres projets de ces milliardaires envisageant de lâcher du lest pour alléger la mongolfière... 

Ah, on vivrait tellement mieux, se disent-ils, avec quelques milliards de gens en moins sur terre, six ou sept, peu importe, quand on est milliardaire on n'en est plus à un milliard près...

Je soupçonne le vieux Schwab d'avoir lu la Montagne Magique, ouvrage écrit il y a cent ans tout juste, et d'avoir voulu - ou est-ce inconscient ? - recréer l'atmosphère du sanatorium décrit par l'écrivain, où l'on socialise, où l'on fait bombance... et où surveiller sa température est un commandement quasi-religieux. Sauf que pour ces milliardaires dépendants à l'argent, et qui en veulent toujours plus, comme tous les drogués dépendants, ce n'est pas d'un sanatorium qu'ils ont besoin, mais d'une prison de haute sécurité. D'un asile psychiatrique ?

Le mieux qui pourrait arriver à la planète, c'est que ces braves (braves ??) gens y restent, à Davos. Mais puisque là-bas, nul volcan ne peut entrer en éruption, vu qu'il n'y a que des montagnes, il ne faut pas espérer que la lave les ensevelisse... C'est donc sur la neige et les avalanches qu'il faut compter ! Une bonne tempête de neige, je vous dis !

Prions, mes frères !

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