VACCIN contre TRAITEMENT, on nous fait le coup depuis cent ans !
Elle n'était pas obligatoire. Mais dans les faits, elle l'est devenue...
Comment s'y sont-ils pris pour nous imposer cette vaccination ?
En utilisant le marketing de la peur, en effrayant les gens, en les conditionnant quotidiennement, partout où le vaccin devait être commercialisé, dans le cadre d'une campagne publicitaire intense fondée sur la peur de mourir, qui existe en tout un chacun : bombardement incessant de chiffres, pilonnages de statistiques, mitraillage non-stop du nombre de gens sous respirateur artificiel, il fallait absolument persuader les gens et par tous les moyens qu'il y allait avoir des millions de morts, que le virus du corona c'était un mixte de grippe espagnole, de peste et de choléra. Aucun traitement ne marchait et surtout pas l'hydroxychloroquine, un traitement non autorisé en Israël, du moins au mois d'avril 2020. Seule l'injection à visée immunologique de chez Pfizer pouvait nous sauver. Ceux qui n'avaient pas peur se firent intimider, on leur fit du chantage, pas de vaccin, pas de travail, pas de visite aux grands-parents, pas de stade, pas de match de foot... Enfin, vous connaissez le procédé. Couplé au pass sanitaire, le tav yarok ici en Israël, le vaccin devient la condition sine qua non ne la vie en société.
En fait, en nous suggérant, en nous matraquant quotidiennement, avec des affirmations comme ''cette maladie est mortelle'', et ''c'est une pandémie, il n'y a pas de traitement...''
...On nous a raconté des mensonges.
Car il y avait des traitements, connus depuis longtemps pour certains, comme la tisane de Mada, la fameuse Artémisia. L'ivermectine, plus récemment, donne, selon plusieurs études, d'excellents résultats. Et, évidemment, le protocole du docteur Raoult, tellement décrié par les médias main stream qui se sont fait dans cette affaire les larbins zélés du gouvernement.
Mais puisqu'il y a un remède, et même, plusieurs, personne ne devrait mourir du corona. Et surtout, personne ne devrait être renvoyé chez lui avec défense de venir au dispensaire, ordre de prendre du paracétamol et de rester chez lui.
C'est pourtant ce qui est arrivé à des milliers de gens, dont mon père, à qui son médecin a dit qu'il n'y avait pas de traitement et que le mieux c'était d'aller se coucher avec un Doliprane...
Un genre de roulette russe : soit on s'en sort, soit on en claque, mais vous conviendrez que le Doliprane n'est pas un médicament... C'est un anti-pyrétique. Un truc qui fait tomber la fièvre. Le truc débile, qui empêche le corps de liquider le virus, justement. Moi je dis que les gens qui sont morts c'est justement parce qu'on leur a filé du paracétamol. On a refusé de les soigner. Mais bon, j'dis ça j'dis rien, on va encore me tomber dessus en ricanant, et me rappeler que je ne suis pas médecin. D'accord, je ne suis pas médecin mais dans ce contexte, un peu de jugeotte suffit. Supprimer la fièvre c'est empêcher l'organisme de se défendre : le virus, comme tous les virus, vit à 37°C. La fièvre le fait cuire, et le tue. Supprimer la fièvre, c'est donc complètement contre-productif, et pas besoin d'être médecin pour savoir ça. Empêcher qu'elle soit trop importante peut-être utile, certes, mais la supprimer totalement paraît d'une stupidité sans nom.
Quand le scandale de l'étude bidonnée du Lancet au sujet de l'hydroxychloroquine a éclaté, j'ai compris que l'histoire se répétait, et qu'à nouveau, pour favoriser un vaccin, on faisait la guerre à un remède...
Donc ces remèdes, quels sont-ils ?
Ils sont de deux sortes : les traitements préventifs, et les traitements curatifs : en prévention, on peut prendre de la vitamine C à haute dose, et de la vitamine D, qu'on peut synthétiser soi-même s'il fait beau et qu'on est encore relativement jeune, la capacité à synthétiser la vitamine D décroissant au beurre avec l'âge.
Il est recommandé de prendre ces deux vitamines en association avec du zinc. Respirer des huiles essentielles de Laurier Noble et de Ravinsara peut être aidant.
Si la maladie s'est déclarée, alors il faut prendre le protocole du professeur Raoult, une association d'antibiotique et d'antipaludique, Azythromycine et Plaquénil. C'est ce que j'ai fini par faire : ma mère, qui venait d'avoir le corona et à qui une copine était venu livrer des comprimés de Plaquénil et une boîte d'Azithromycine, me persuada de prendre le traitement. En deux jours, plus de toux, plus de maux de tête... Guérie ! Je ne suis pas sûre que c'était le corona, mais quoi que ce fût, ça a disparu ! C'est ce que le gouvernement indien distribue, dans l'Etat de l'Uttah Pradesh, très peuplé et qui a très peu de morts comparé à d'autres régions de l'Inde, où l'on a fait d'autres choix...
L'autre jour j'appelle mon père, qui est en France, pour savoir comment il allait, s'il avait retrouvé l'odorat, s'il se remettait de cette grosse fatigue... ça allait, il me dit et toi, je réponds que je l'ai probablement eu aussi, mais qu'heureusement, j'ai pu avoir un bon traitement... Et vous savez ce qu'il me répond ?
Il me fait :
- ah bon, y'a un traitement ?? ''
J'en suis restée... abasourdie. C'est fou, le coup du y'a pas de traitement marche à fond. Et lorsqu'il a compris que je faisais allusion au protocole Raoult, il s'est empressé de le traiter d'escroc et de charlatan. Je connais d'ailleurs plein de gens qui affirment penser plein de mal de Raoult, qu'il n'est qu'un vil personnage, un druide, un gourou... et qui n'ont pas conscience que tout ce mal qu'ils croient penser, on le leur a, en réalité, instillé jour après jour. Qu'il ne s'agit pas de leur propre opinion mais d'une suggestion, installée chez eux à force de propagande et de décrédibilisation, répétée jour après jour.
En réalité les choses sont très simples, très binaires : pour qu'un vaccin se vende, qu'il puisse être commercialisé légalement, il faut et il suffit qu'il n'y ait pas de traitement. S'il y a un traitement, alors légalement on ne peut recommander le vaccin. C'est comme ça dans plusieurs états des Etats-Unis.
Ici en Israël un professeur de l'Université d'Ichilov a découvert il y a quelques mois un traitement très efficace contre le virus. Mais étrangement on n'en entend plus parler. Bizarre autant qu'étrange...
En fait, pas tellement. La dialectique traitement /vaccin ne date évidemment pas d'hier : le professeur Georget en donne plusieurs exemples dans son livre Vaccins : les vérités indésirables.
Il rapporte ainsi p.211 qu'au début des années 50, le docteur Fumeron traita un patient atteint de tétanos à un stade avancé :
'' Ayant déjà expérimenté avec succès le chlorure de magnésium dans le traitement de la diphtérie, il eût l'idée de l'utiliser pour traiter un jardinier déjà en lame de ressort lors de son arrivée dans le service. En raison de l'état de contracture du malade, Fumeron lui administra par voie intraveineuse une solution de chlorure de magnésium à 20%. Vingt minutes plus tard le malade était assis sur son lit et réclamait à boire ! Après 4 injections à 12 heures d'intervalle, le tétanos était guéri. (...) on se demande pourquoi ce traitement n'est pas universellement appliqué car il a le mérite d'être simple, facile à administrer et peu coûteux, toutes caractéristiques qui le rendraient particulièrement utile dans les pays du tiers-monde qui paient le plus lourd tribut au tétanos. Mais peut-être ne faut-il pas, comme pour la diphtérie dans les années 40, porter atteinte à la généralisation de la vaccination ?''
Car la diphtérie, nous dit Michel Georget, a été traitée pendant longtemps par sérothérapie, c'est à dire par injection de sérum prélevé sur des chevaux préalablement immunisés par injection de toxine diphtérique. Ce prodédé découvert par Roux, collaborateur de Pasteur, ne fut pas aussi efficace qu'on l'espérait et surtout il a été à l'origine de nombreux accidents anaphylactiques.
En 1932, un humble médecin de campagne, le docteur Neveu, (...) constata que l'absorption d'une solution de chlorure de magnésium guérissait rapidement la diphtérie. Neveu avait été l'élève du Pr Delbet, qui, durant la guerre 14-18 avait observé que les blessures tamponnées avec cette solution guérissaient plus vite. Il avait appelé cette méthode ''traitement cytophylactique''.
Se souvenant de cette découverte de son maitre, Neveu eût l'idée de l'appliquer à une fillette atteinte d'une angine suspecte, dans l'attente du résultat de l'analyse du prélèvement effectué dans sa gorge. Quelle ne fut pas sa surprise de constater le lendemain la guérison de la fillette alors que le résultat de l'analyse était positif pour le bacille de la diphtérie. Ayant obtenu le même résultat sur d'autres malades, Neveu en fit part à plusieurs de ses confrères et informa Delbet des résultats obtenus. Quand, en 1943, la diphtérie atteignit des sommets avec plus de 45000 cas et que le sérum devint rare, Neveu publia quelques lignes dans le Concours Médical :
''Le sérum antidiphtérique ne se trouvant plus désormais en quantité suffisante, je me fais un devoir de faire connaitre la médication (solution de chlorure de magnésium à 20g par litre) qui m'a donné les meilleurs résultats, sans la sérothérapie.''
Parallèlement, Delbet voulut présenter les résultats de son élève à l'Académie de médecine dont il était membre. Après bien des difficultés, il obtint enfin, le 20 juin 1944, de pouvoir lire sa communication sur le traitement de la diphtérie par la méthode cytophylactique mais le bureau refusa d'en publier le contenu dans le Bulletin de l'Académie nationale de médecine. (...) Ainsi, par son coupable silence, l'Académie a t-elle littéralement condamné à mort des milliers d'enfants qui auraient pu être sauvés par ce traitement.
Pour quelle raison ? On ose à peine le croire mais la réponse figure dans une des lettres du Pr Delbet :
'' Le conseil de l'Académie a trouvé après six mois de réflexion l'argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l'intérêt général est de généraliser les vaccinations.'' Et le professeur Georget de conclure : sans doute n'était-il pas souhaitable qu'au pays de Pasteur, Roux, Ramon, la découverte d'un humble médecin de campagne ruine le prestige de deux découvertes françaises : la sérothérapie et la vaccination.''
La mise en concurrence des traitements et des vaccins n'est, on le voit, pas nouvelle : ça fait cent ans qu'on nous fait le coup...
C'est pour ne pas nuire aux vaccins que l'on dissimule aux gens l'existence de traitements. Ces médecins comprennent de travers le serment d'Hippocrate et se disent '' D'abord ne pas nuire... aux vaccins !!!'' Cette perversion de l'impératif initial, ''primum non nocere'', est totalement perverse et doit être dénoncée comme telle. Car c'est au nom de cette ignominie qu'on a laissé mourir nos vieux, dans la douleur et la solitude et parfois euthanasiés à coups de Rivotril. C'est toujours au nom de cette logique mercantile qui tient avant tout à écouler les doses, qu'on a hésité en France à retirer, comme tant d'autres pays l'ont fait, le vaccin Astra-Zeneca de la vente. Mais le lobby des industriels de la pharmacie nous a depuis longtemps transformés de malades en clients, et bientôt, en prenant un abonnement vaccinal avec injections régulières, il fera en sorte que que nous devenions dépendants à vie des injections salvatrices à base de protéine de virus, ainsi que nos enfants dès leur plus jeune âge. Si nous consentons à ces injections régulières, nous leur permettrons de toucher le Jackpot en engrangeant automatiquement des sommes faramineuses.
Il est maintenant question de vacciner les enfants, en Israël.
En effet, Pfizer a fait une demande d'autorisation d'urgence pour pouvoir vacciner les 12-15 ans. Les laboratoires Pfizer et BionTech ont annoncé que leur vaccin contre le covid 19 est efficace à 100% pour cette tranche d'âge. Ash a dit attendre l'approbation de la FDA.
Pourtant, en Israël, énormément de médecins ont mis en garde contre la vaccination des enfants, laquelle ne s'impose pas du tout, étant donné que les enfants ne souffrent pas de cette maladie, qu'ils n'en sont pas vecteurs, et que ce serait une folie que de leur faire subir inutilement de terribles effets secondaires... et j'aime mieux ne pas penser au pire !
Le mois dernier, une lettre de protestation commune a même été envoyée aux responsables gouvernementaux, signée par 93 médecins appelant à s'abstenir de vacciner les enfants. Parmi les signataires, Amir Shachar, directeur des services d'urgence à l'hôpital de Laniado, Yoav Yehewkell, université de Tel Aviv, et Avi Mizrahi, directeur des soins intensifs de l'hôpital Kaplan, à Rehovot.
Le contenu de la lettre a été révélé par la chaîne 12 de la télévision israélienne, les médecins se réfèrent à l'impératif hippocratique bien connu, primum non nocere, d'abord, ne pas nuire. Il n'y a aucune urgence à vacciner les enfants, écrivent-ils, précisant que la hâte vient du diable. Et qu'il faut être humble, qu'on ne sait pas grand chose de ce virus et encore moins de ce vaccin, de ses chances de fonctionner chez les enfants, surtout face à l'explosion des variants. Ils précisent que le vaccin ne peut conduire à une immunité de troupeau, et que donc il n'y a aucune justification altruiste de vacciner les enfants pour protéger les vieux.
PS : A l'heure où je m'apprête à publier cet article, j'apprends qu'Israël renonce ce soir dimanche 23 mai 2021 au pass vert ! C'est comne je vous l'dis ! Ils viennent de le dire à la radio. Le chef de choeur, impatient de me voir revenir aux répétitions de la chorale, les mardis soirs, vient de m'appeler pour me demander si j'ai entendu la nouvelle... Tu vas pouvoir reprendre ! me dit-il, tout content.
Alors voilà : au 1er juin 2021, c'est à dire, dans huit jours, il n'y aura plus aucune mesure sanitaire en Israël, ni masque ni distanciation ni pass vert, donc.
C'est peu de dire que je suis satisfaite. Je suis stupéfaite, incrédule... et tellement soulagée. Je savais bien que ces fachos de technocrates ne pourraient pas s'obstiner longtemps dans ce système discriminatoire insupportable et imbécile.
Il parait que c'est pour être le premier pays à abolir les mesures sanitaires, après avoir été le premier à ''sortir de la pandémie''... On se croit donc toujours dans un rallye, en Israël ? Il s'agit encore de montrer que ''c'est nous les meilleurs'' ? Preum's, maitresse...
Ceci dit, c'est quand même une excellente nouvelle. Merveilleuse, même. Alleluia et merci mon Dieu !
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