Mon père dit toujours

Mon père dit toujours qu'il vaut mieux être riche et en bonne santé que pauvre et malade. Et qu'il vaut mieux faire envie que pitié. Certes. C'est le bon sens... Mais voilà, les banques nous préfèrent pauvres, et les laboratoires pharmaceutiques - que nous, complotistes, appelons Big Pharma - nous aiment mieux  quand on est malades : pauvres on prend des prêts, et donc on paie des frais, toujours plus de frais, et malades, on se soigne : on consomme des médicaments. On dépense, toujours plus, pour notre précieuse santé.

Riche et en bonne santé, c'est bien, mais à quoi on leur sert, alors, en effet ? Ces gens ne cherchent que leur propre intérêt, bien sûr, car comme dit encore mon père, ce ne sont pas des philanthropes ! Leur intérêt, à ces gens-là, c'est que vous empruntiez, que vous payiez des intérêts, justement. Que vous multipliiez les crédits ! Que vous achetiez toujours plus de médicaments. Que vous fassiez toujours plus de tests, d'analyses de sang, d'urine, que vous n'oubliiez pas de leur donner régulièrement un échantillon de vos matières fécales... Que vous alliez mettre vos seins entre des plaques de verre tous les deux ans. 

Bref, ce qu'ils veulent, c'est que vous leur confiiez votre santé et votre argent. Que vous leur fassiez confiance pour les laisser s'en occuper.

Ce qui rapporte le plus, chez Big Pharma, parmi les tonnes de médocs, les fleuves de gouttes et de sirop, les tombereaux de comprimés disponibles à la vente, c'est l'industrie du vaccin et la procréation médicale assistée. Le premier favorisant parfois la seconde : les risques liés à l'infertilité, concernant la thérapie génique expérimentale en cours chez nous en Israël et dans d'autres pays du monde sont maintenant trop bien documentés pour qu'il y ait besoin de revenir en détail sur tout ceci. Cette injection peut induire des risques de stérilité, c'est le fabricant lui même qui le dit dans sa notice.

Personnellement, le vaccin, c'est non. Mon père ne comprend pas que je n'accepte pas de me faire vacciner. - Mais pourquoi tu veux pas te faire vacciner ?? C'est bien, les vaccins !!!

''...Qu'est-ce que tu veux, qu'on retourne en arrière et qu'on vive comme il y a cent cinquante ans ?''

Evidemment, qu'on ne peut pas retourner en arrière et s'éclairer à la bougie. C'est ce que me répond mon père, et alors quoi, on va retourner vivre dans des cavernes et aller s'éclairer à la bougie ?? Quand j'essaie de défendre mon point de vue, en lui répondant que pour être sûr de ne pas attraper le Covid il faut boire un jus d'orange tous les matins, faire un peu d'exercice et aller au soleil tous les jours, et sans masque, pour respirer à fond le bon air du Bon Dieu, il se fout de moi. Les vitamines ? Hahahaha, qu'il me fait. On dirait qu'il trouve le sujet comique. Mais le sujet ne prête pas à la rigolade, ce me semble, car les médecins préconisent l'absorption quotidienne de vitamine C, D et zinc en traitement préventif.  Parce qi'au lieu de se faire remplacer le système immunitaire par un dispositif artificiel mis en place via une injection expérimentale, il vaut mieux, ce me semble, renforcer celui qu'on a reçu en naissant et qui a fait ses preuves, au cours des années. 

Au lieu de rire, il vaudrait mieux s'y mettre. Que je lui dis. Ce à quoi il me répond "s'y mettre, ou six mètres cinquante...?"

 Mon père, il aime bien rigoler. 😜

Non, on ne retournera pas en arrière... Le Progrès ne se laissera pas bouder si facilement... 

''L'homme en proie au Progrès est semblable à un homme monté sur un tigre... Et la seule chose que l'on peut lui dire est vous n'auriez pas dû y monter.'' Paroles profondes, rapportées par le regretté Jean-Pierre Séris, un jour pendant un cours d'épistémologie (philosophie des sciences) à la fac Paul Valéry, Montpellier.

Qui vivra verra. L'immense majorité des vaccinés survivra sûrement à cette vaccination de masse, expérimentale, et donc risquée. Mais la mort n'est pas le seul risque. La stérilité non plus... Il y a des paralysies, des AVC, des crises cardiaques, des thromboses... Seul l'avenir nous dira s'il fallait vraiment se faire injecter la substance de Pfizer. A mon (humble) avis on va avoir quelques mauvaises surprises...

Je ne suis pas médecin, c'est vrai, mais un peu de bon sens fait l'affaire. Surtout qu'il n'y a pas - encore - de loi qui stipule que seuls les médecins auraient le droit d'avoir et d'émettre une opinion, concernant ces questions. Je suis quand même spécialiste de santé ! Oui, de ma propre santé, vu que je me fréquente depuis suffisamment longtemps pour  savoir ce qui me réussit et ce qu'il faut que j'évite. Mon organisme ne supporte ni huitre ni mazgan, l'appareil à air conditionné, ici en Israël : du coup je suis obligée de me vêtir chaudement l'été, car tout est climatisé en Israël, à commencer par les transports publics dans lesquels on fait régner une température polaire dès la fin de l'hiver, c'est à dire dès le mois de février. J'évite les huitres, et la viande le soir, qui ne me réussit pas. Je me soigne avec de l'ail, du miel et de la vitamine C, principalement, et en cas de problème de santé, je jeûne et je dors. Aucune maladie n'a jamais résisté à une cure de sommeil et un jeûne de trois jours. Je parle pour moi, évidemment. Cette façon de faire me réussit, donc, je l'applique dès que c'est nécessaire : pas manger, pas bouger, au dodo trois jours en cas de fièvre, une bouteille d'eau pas loin et c'est réglé. Le quatrième jour je me lève fraiche comme un gardon.

Evidemment, si ça me réussit, pourquoi ça ne vous réussirait pas, à vous ?

Mais non, je ne suis pas médecin, donc je devrais me taire et garder mes conseils pour moi. Me laisser docilement injecter la substance à visée immunologique. Décidément le film Hold Up porte bien son nom, on s'est fait déposséder de nos droits élémentaires à avoir et émettre une opinion, concernant notre propre santé et le choix ce qui entre ou pas dans notre propre corps... Je trouve ça vertigineux. Sous prétexte que je ne suis pas médecin je devrais me laisser dicter ma conduite et accepter que d'autres pensent pour moi... et tendre docilement mon bras pour la picouse.

Et bien je revendique le droit d'avoir des idées sur l'immunité, de faire des recherches sur les ingrédients entrant dans la composition de ce prétendu vaccin que les autorités veulent me faire accepter à toute force... Je revendique aussi le droit de ne pas être d'accord avec les médecins, qui sont d'ailleurs très divisés sur ce sujet, certains rejetant d'ailleurs absolument le point de vue affirmant que le vaccin serait notre seule et unique porte de sortie ! Au lieu de vacciner, on peut faire de la prévention. On peut aussi traiter, des médicaments existent. Des plantes aussi...  L'artémisia pousse un peu partout, et j'en ai ramassé l'autre fois avec ma mère, dans un jardin public de Jérusalem... Ma mère, qui a eu le corona le mois dernier et à qui ses copines ont apporté le protocole de Raoult, disponible ici en Israël, c'est à dire Plaquénil et Azythromicine, au marché noir, quand même car ces traitements sont toujours interdits en Israël, incroyable, ma mère, dis-je, a eu le corona et elle se porte actuellement comme un charme, grâce à D.ieu. Inutile de vous dire qu'elle ne compte toujours pas, à plus de 80 ans, se faire vacciner, ni de vous préciser que je trouve qu'elle fait sagement.

Le système immunitaire ne peut pas être trafiqué sans risque, j'en suis persuadée. C'est mon intime conviction, et je ne vois pas pourquoi l'intime conviction serait réservée aux seuls juges !

D'ailleurs, bon nombre de scientifiques alertent sur le sujet, dont la spécialiste mondiale de l'ARN, Alexandra Henrion-Caude, qui estime que nous devrons sûrement constater, dans les années qui viennent, l'apparition de cancers et une foultitude de maladies auto-immunes... En effet, le procédé utilisé dans les vaccins dit à ARN messager revient à piéger le système immunitaire, lequel ne fait plus la différence entre le Soi, c'est à dire, le corps, et le non-Soi, c'est à dire, l'ennemi, le virus. Puisque ce vaccin à ARN consiste à faire produire au corps de la protéine de virus... Peut-être faudrait-il cesser d'employer le mot vaccin pour désigner cette nouvelle technologie, et adopter celle proposée par la généticienne, à savoir ''thérapie génique expérimentale''...? Le système immunitaire ne faisant plus la différence entre ses propres cellules et celles qu'on lui fait produire, il en viendra à attaquer ses propres organes. C'est ce fait de s'en prendre à son propre organisme, et attaquer son propre système immunitaire que l'on désigne du nom de maladie auto-immune, vacciner revenant à faire produire à l'organisme des anticorps contre les protéines de pointe du virus, qui contiennent également ''des protéines homologues à la syncytine essentielles pour la formation du placenta'': beaucoup de médecins mettent en garde contre ce risque de déclencher une réaction immunitaire contre la syncytine, et risquer de provoquer une infertilité chez les femmes vaccinées...

Evidemment, le ''vaccin'' ayant été mis au point sur une période très courte, moins d'un an, on peut se demander si ce risque ne devrait pas être pris beaucoup plus au sérieux, et surtout s'il vaut d'être couru... A mon avis, non ! Cent fois non !

Les gens, devenus stériles, devront recourir à la fécondation in vitro et la procréation médicale assistée. Seuls les riches pourront s'offrir une descendance. Ou bien, si c'est l'Etat qui paie, alors il voudra aussi sûrement choisir le sexe, pardon, le genre, et toutes les autres caractéristiques physiques... On aura alors affaire à un eugénisme d'un genre nouveau : à des humains génétiquement modifiés, conçus en laboratoire pour répondre à telle ou telle demande... 

Il a raison, mon petit papa. Qui vivra verra. 

On verra ce qu'on verra. Mais il sera trop tard.

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